Pourquoi c’est bien de se sentir mal à 40 ans.

Pour une fois le titre vous dit TOUT.

Non ?

C’est un peu provoc, mais c’est vrai.

Bien sûr, je ne vais pas m’arrêter là. Alors lisez la suite.

Plusieurs raisons pour aller plus loin.

La première, c’est que cela fait un peu court pour traiter un thème.

La deuxième, c’est que le sujet est important.

La troisième c’est que c’est important pour VOUS.

Etre mal c’est quoi ?

En fait, c’est être en pleine crise de la quarantaine.

C’est aussi ce que d’autres appellent une crise existentielle.

L’indicateur, c’est le mal-être profond que l’on ressent au début, un peu, par moments, à certains moments.

Puis, c’est le mal-être que l’on ressent tout le temps, même si tout va apparemment bien.

Mais pour être bien clair, c’est surtout quand ça va mal, que l’on rencontre vraiment sa crise de la quarantaine.

Et oui, la relation sentimentale est en train de se désagréger, ou bien on est déjà séparé, on a des problèmes professionnels, ou c’est notre état de santé qui est moins bon, ou encore les enfants avec lesquels le fossé s’est créé.

Bref, quand vous vous trouvez face à une crise personnelle ou professionnelle, vous vous sentez mal.

Parce que là, tout ce qui vous tenez, et bien tout s’écroule.

Tout ce que vous avez construit s’écroule.

Tout ce en quoi vous croyiez s’écroule.

Je n’exagère pas, je l’ai vécu. Lisez donc la page « Qui suis-je » du blog, ICI.

On a construit un monde que l’on croit équilibré et puis les failles apparaissent, de plus en plus marquées, ou bien soudainement. Enfin, soudainement pour celui qui vit dans une forme d’illusion.

Et là, on n’a plus de points de repères, on ne sait plus à quoi se raccrocher.

Et on se craquèle comme un biscuit trop sec.

Et le rêve s’écroule !

Et oui, le rêve s’écroule.

Sauf que ce rêve était une illusion.

Que vous avez construite.

Et oui, il faut bien construire du rêve quand on ne sait pas vivre dans la réalité.

Et puis, on croit tous au Bonheur de la pub. Vous savez cette illusion qui nous pousse à croire que tout doit être parfait pour que l’on se sente bien dans sa peau.

Alors souvent on prend la peau d’un autre. On s’invente un personnage.

Et on bâtit une vie sur ce personnage.

Une vie où tout doit correspondre au mythe Bonheur, avec tous les accessoires.

Sauf que le Bonheur, c’est fait de hauts et de bas. Et que lorsqu’on apprécie tout ce qui nous arrive de bon, on se sent mieux. Et quand des difficultés arrivent, et bien, ce qu’il faut, c’est admettre que cela fait partie de toute vie.

Et une vie entière c’est comme ça.

Vous fuyez qui ? Ou quoi ?

Le Bonheur existe, c’est le fait d’être la personne que l’on est vraiment.

C’est « vivre la vie qui nous ressemble ».

Ce n’est pas usurper une identité qui nous rassure un temps mais qui finira inexorablement pas s’évaporer.

Et là, on se retrouve avec un gouffre sous les pieds. Celui d’être face à nous-mêmes.

Et face à nos problèmes profonds.

Ces problèmes viennent du passé.

Je vous le dis souvent, tant que le passé n’est pas réglé, vous ne sortirez pas de votre crise existentielle, de votre crise de la quarantaine.

Le passé a besoin d’être réglé pour avancer vers ce que l’on est…et vivre au présent … enfin.

Parce que, quoique vous fassiez, du sport, de la salsa, des voyages, une nouvelle coupe de cheveux ou de l’auto-suggestion, vous ne règlerez pas ce qui est en suspens.

C’est-à-dire les souffrances du passé.

C’est-à-dire ce qui vous a mis, il y a longtemps, dans une situation de manque d’amour, de manque de confiance en soi, de manque d’estime de soi.

Ces blessures ne guérissent pas avec des pseudos colmatages.

La souffrance enfouie ne guérit pas toute seule.

Car à la moindre difficulté c’est tout votre monde qui s’écroule.

Tout ce monde factice juste bon à masquer les souffrances dissimulées au fond de vous.

C’est vraiment bien d’être mal

L’opportunité de changer pour un monde meilleur, c’est quand cela va mal.

Là, tout, est à plat.

On se pose les questions qui retentissent au fond de soi.

Je souffre de quoi ?

Bonne première question.

Car le problème est en vous d’abord. Et pas chez les autres forcément.

Et cela vous amène à réfléchir à la façon dont on vous a aimé.

A la façon dont vous avez développé votre personnalité, et votre vision de vous dans la vie et au milieu des autres.

Pourquoi je me doutais que cela allait m’arriver ce problème là ?

Là, c’est le schéma classique de la personne qui n’a pas réglé son estime de soi et qui imagine que cela ne peut pas durer quand tout va bien.

Pourquoi est-ce une catastrophe pour moi ?

Et oui, pour d’autres c’est moins douloureux.

Ils sont juste face à des aléas de la vie. Tout reste normal.

Il faut juste trouver des solutions à une situation nouvelle aussi imprévue soit-elle. Mais pas pour vous, parce que le problème est profond et ancien…et bien caché…par vous…inconsciemment.

Comment les schémas d’échec répétitifs se sont-ils construits ?

Super. Là, vous touchez aux solutions.

Si vous vous rendez compte que les situations d’échec se répètent c’est que vous avez compris qu’il y a un problème de fond. Et qu’il faut le traiter pour sortir de ce schéma d’échec.

Quelle identité ai-je endossé ?

Hyper important. Arriver à se poser cette question c’est comprendre que d’autres ont décidé pour nous de qui on allait être dans notre vie.

Qui suis-je vraiment ?

Ouhlà ! La question existentielle majeure. Et bien, c’est pourtant le commencement.

Savoir qui l’on est dans ce monde et qui l’on veut être.

Mes atouts, mes forces, mes faiblesses, mes fragilités.

Tout ce qui fait que je suis moi. Et que c’est bien ainsi.

Vous voyez que c’est positif d’aller mal !

Votre fragilité actuelle est ancienne.

Elle est le résultat de ce qui est enfoui. Elle resurgit à l’occasion d’une blessure actuelle, mais elle est ancienne.

La crise est un merveilleux signal !

C’est le signal qu’il est temps de changer et de vous occuper de vous pour que le meilleur de vous vienne enfin visiter votre corps, votre esprit et le monde qui vous entoure.

Considérez cette situation difficile, aussi douloureuse soit-elle – je sais à quel point on peut souffrir quand on perd tout ce qui nous fondait – considérez donc cette situation comme une magnifique opportunité de régler enfin définitivement votre problème de fond, lié souvent au manque d’amour ou à la culpabilité imaginaire ressentie enfant.

Admettre que l’on souffre et que cette souffrance est ancienne est un premier pas, IMPORTANT, vers la guérison définitive.

Et la guérison, c’est « devenir qui l’on est ».

C’est en rencontrant mon passé, en trouvant la paix avec ma propre histoire que j’ai trouvé qui je suis ; même si le chemin est encore long…et si intéressant.

Alors, arrêtez le sport un instant et revisitez votre passé !

Vous reprendrez le sport lorsqu’il s’inscrira dans une démarche qui vous correspond pleinement.

Pour l’heure, revisitez votre passé.

Tout seul, si vous le pouvez, dans un premier temps. En famille aussi, quand c’est possible.

Mais ensuite, trouvez la thérapie qui vous convient.

Ce temps pour découvrir d’où vient vraiment la crise est ESSENTIEL.

Prenez le temps nécessaire.

C’est le conseil que je vous donne régulièrement.

Trouvez la bonne formule pour revisiter votre passé sans s’enliser.
Pour en sortir enfin.

Ça, c’est le premier super changement positif à mettre en œuvre.

Ensuite, enchaînez avec les autres changements qui vous font du bien.

Et pour réussir INVESTISSEZ SUR VOUS !

Passez aux formations qui révèlent vos potentiels professionnels, créatifs, personnels.

Passez à ce qui vous permet d’adopter des comportements qui vous font du bien et qui correspondent à la personne que vous êtes vraiment.

Faites-vous coacher pour mettre en place le programme du changement positif dans le temps.

Et bien entendu, continuez à lire ce blog.

Investissez sur ce qui a le plus de valeur dans votre vie, VOUS.

Et tout l’épanouissement de votre vie, c’est d’accomplir ce que vous êtes.

Et aussi DECIDEZ.

Prenez la décision d’être heureux !

Prenez la décision que vous êtes digne d’amour, à recevoir et à donner !

Prenez la décision d’avancer !

Prenez la décision d’agir, car vous êtes seul responsable de votre vie !

Le « destin » c’est vous qui en décidez !

La « chance » c’est vous qui la créez !

Je vous l’avais bien dit que C’EST BIEN D’ETRE MAL.

Et c’est pour vous aussi ; vous pouvez y arriver. En agissant dès maintenant.

Votre vie se prend en mains MAINTENANT.

N’attendez-pas un an de plus pour « vivre la vie qui vous ressemble ».

N’hésitez-pas à me communiquer votre ressenti en cliquant ICI.

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A bientôt.

           C’était Didier.

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